On n’a pas toujours la chance de célébrer la fête d’Aïd Al Adha chez soi. A Imider comme à Tahla, les habitants ont fêté ce rituel musulman de manière collective et en plein air. Loin de chez eux. Mais entre eux. Une façon pour eux de clamer fort leurs doléances. La fête comme la joie, semblent dire ces deux communautés amazighes, n’auraient de sens ni de goût que si leurs problèmes étaient...